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3 janvier 2022 1 03 /01 /janvier /2022 08:47

C’est un plaisir d’entendre et de voir les oiseaux qui gazouillent au Parc des Palmiers.  Ce week-end, j’ai pu y apercevoir le cardinal rouge, un martin triste, une tourterelle péi, un merle Maurice…

Mais pas de tisserin, ni de zozo blanc, ni de caille…

Et c‘est un oiseau peu banal près du petit plan d’eau qui a capté mon attention…

Une œuvre artistique datée de 2020 signée David Nativel : une autruche pour le moins originale !

 

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2 janvier 2022 7 02 /01 /janvier /2022 09:23

Si de nombreux palmiers sont difficilement identifiables, il n’en est pas de même pour le « palmier triangulaire ». Ce palmier encore appelé « palmier trièdre » est originaire de Madagascar et a pour nom latin « dypsis decaryi ».
Il peut atteindre 12 mètres dans son milieu naturel.

 

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1 janvier 2022 6 01 /01 /janvier /2022 20:25

Depuis juin 2021 un nouveau parc a vu le jour à Etang Salé : on peut y découvrir des oiseaux, des tortues, des iguanes…

Il existe aussi un espace réservé au « Spectacle des rapaces », une mini-ferme…

Le prix d’entrée est de 12 euros par adulte et de 8 euros par enfant de 4 à 10 ans. Gratuité pour les moins de 4.

 

(À ne pas confondre avec  le Croc Parc qui propose d’autres prestations… dont l’observation de crocodiles)

 

 

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1 janvier 2022 6 01 /01 /janvier /2022 10:12

En remontant la rue de Paris dans le bus T qui me ramenait à Saint Pierre, j’ai revu avec plaisir les cases créoles de cette rue de Saint Denis. Un peu plus haut que le musée Dierx, non loin du Jardin de l’Etat, à main droite, au Numéro 38,  je remarque une belle case hélas un peu décrépite et m’étonne en voyant sur la plaque qu’il s’agit de « la Maison Ravate ». Quand on sait que Ravate est une famille extrêmement riche, on peut s’étonner de voir une case à leur nom dans cet état… mais peut-être qu’elle ne leur appartient pas.

C’est une maison du XIXe siècle, chevillée et assemblée de manière à pouvoir être reconstruite. Cette case en kit aurait été démontée à Saint Paul pour être reconstruite ici en 1870 par la famille Gamin. Elle aurait été restaurée en 1980.

 

Comme mes photos ne rendent pas compte de la vue d'ensemble, j’en trouve une sur le site Randopitons et Jean Paul Goursaud m’autorise à la publier. Lors de cette prise de vue, la case était encore un restaurant. Aujourd’hui, il semble fermé…

Photo randopitons https://randopitons.re

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30 décembre 2021 4 30 /12 /décembre /2021 10:04

Chez mon amie, à la Ravine des Cabris, le poivrier a bien grandi. A l’abri du soleil, à mi-ombre, il profite bien de la chaleur et chaque soir il est arrosé. Il s’est étoffé et désormais il fait des fleurs.

Bientôt les petites boules blanches grossiront et se transformeront en grains de poivre.

 

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30 décembre 2021 4 30 /12 /décembre /2021 09:16

Après quelques mois d'absence me revoilà et quelques changements notables me frappent dès mon arrivée à l'aéroport Roland Garros : d'abord je me dirige vers le guichet info touristique pour prendre un billet pour un car jaune qui doit m'emmener à Saint Pierre. J'acquitte la somme de 5 euros comme d'habitude pour le bus T qui fait toutes les plages : il part à 13h20 pour arriver 2h plus tard à Pierrefonds. (J'aurais aussi pu prendre le ticket dans le bus).

Mais il me faut traîner les valises à un arrêt éloigné de l'arrivée. Il me faut emprunter l'allée en pente douce montante qui  longe les locations de voitures et au bout de 300 mètres à gauche je remarque  5 arrêts bus dont un abri pour les passagers du CarJaune ZO ( qui emprunte la route des Tamarins) et du Car Jaune T(qui longe les plages de l'Ouest). Sous la chaleur, après 20 heures de voyage, c'est pénible. 

Nous glissons nous-mêmes nos bagages dans la soute du car et nous voilà en route vers saint Denis. Nous atteignons la gare de bus, passons au Jardin d'Etat, et comme toujours aucun passager ne monte à ces arrêts. La jonction entre la nouvelle route du Littoral et le chef-lieu n'est toujours pas faite. Et l'océan qu'on voyait autrefois est longtemps caché par des digues grises monotones, désespérantes...de la pierre, de la pierre et encore de la pierre.

Voilà les piliers qui se succèdent mais l'ouvrage est toujours en standby. 

Autre nouveauté : un parc de panneaux voltaïques avant la Rivière des Galets.

Puis la nouvelle route qui traverse la Rivière des Galets est opérationnelle.

A Saint Paul, je remarque une belle allée cyclable qui longe la route, quelques piétons l'empruntent, mais elle s'arrête sur un bloc de béton.

A la gare routière de la même ville stationnent des bus au look inconnu : ils sont rouge et blanc. Ce sont les "Kar Ouest", et les arrêts ont les mêmes logos. Une nouvelle compagnie ? A creuser...

Avant d'arriver à Pierrefonds, nous empruntons des routes bordées d'arbres, c'est le complexe qui doit accueillir de nombreuses entreprises... Mais leur implantation se fait attendre. Les arbres ont bien grandi, il existe des feux tricolores et des voies de bus ...

Nous voilà enfin à l'aéroport de Pierrefonds... Il fait bien chaud !

 

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5 mai 2021 3 05 /05 /mai /2021 10:09

En déambulant dans l’allée principale du  Cimetière du Père Lafosse à Saint Louis, j’aperçois un arbuste très vert dont je ne reconnais pas le fruit. Ce sont des fruits ronds assez gros et verts.


Le gardien des lieux m’explique qu’il s’agit là de « vavangues ». Elles ne sont pas encore mûres.  C’est alors qu’il avise un fruit à terre qui doit être là depuis un certain temps. Il nous l’ouvre pour nous en montrer la chair. On la consomme quand la chair est juteuse. Certains en font du rhum arrangé ou encore transforment la pulpe en compote.

L’expression créole « faire vavangue » n’a plus cours aujourd’hui. Elle date de « lontan ». Autrefois, elle signifiait « faire l’école buissonnière ». Parce que les enfants qui avaient fui les bancs de l’école, allaient dans la Nature et cueillaient les fruits de cet arbuste…

 

 

Le pied de varangue
Le pied de varangue
Le pied de varangue
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4 mai 2021 2 04 /05 /mai /2021 17:38

Rencontre inévitable que celle de Léon, quand on visite ce cimetière situé à une encablure de l’usine du Gol à Saint Louis.
L’homme originaire de Saint Louis, fils de père mauricien et mère Saint louisienne, s’occupe de veiller sur le cimetière depuis 2006. Pour ce retraité,  cette activité est bénévole. Ce sont les employés communaux de St Louis qui entretiennent les espaces verts de la nécropole.

Quand on aborde l’homme, il est communicatif. Je pense qu’il voit très peu de gens, le cimetière étant bien caché derrière la piste de kart et le panneau de direction, explique-t-il, a été emporté par le mauvais temps…

Il nous raconte le jour où la chapelle a failli prendre feu à cause d’une bougie placée à mauvais escient près du drap qui recouvrait la tombe.

Le plan du cimetière aurait été dessiné par des enfants de l’école. Selon lui 200 croix sont présentes au cimetière. Il le ferme actuellement tous les soirs à 17h30. 

J’ignore si c’est lui qui est à l’origine de tous les écrits placardés au mur, dont des interdictions de faire ses besoins dans cet endroit… Ecriture naïve et surprenante !

Nous lui demandons aussi la nature des fruits ronds et verts vus sur un arbre près de l’allée centrale à quoi il nous répond qu’il s’agit de « vavangues ». Il en trouve un très mûr tombé à terre et nous l’ouvre.

Le moustique se plaît ici. Nous demandons à M. Bundi pourquoi il ne vide pas les récipients où l’eau stagne… Mais il affirme que les moustiques sont là de toute façon à cause d’une mare située à proximité… Nous ne resterons qu’une dizaine de minutes avant de reprendre la piste rejoignant la route de Bel Air.

Leon Bundi, gardien du Cimetière du Père Lafosse
Leon Bundi, gardien du Cimetière du Père Lafosse
Leon Bundi, gardien du Cimetière du Père Lafosse
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3 mai 2021 1 03 /05 /mai /2021 11:39

Le tecoma jaune ou trompette d’or

Ce dimanche, l’envie de manger une glace, nous a guidées, Véro et moi, vers le Golf d’Etang Salé. Nous nous sommes assises sur un muret près du green pour voir les golfeurs en action mais aussi profiter de la quiétude et de la beauté de l’endroit.


     En revenant au parking, nous sommes tombées en arrêt devant une plante à la floraison exubérante de fleurs jaunes en forme de trompette. Le nom latin de cette plante est « tecoma stans ». On l’appelle aussi « bois pissenlit » ou « bois caraïbes ».

L’arbuste qui peut atteindre 4 mètres appartient à la famille des bignonaceae. Originaire du Mexique, du Nouveau Mexique, de l’Arizona et du Texas, cette plante ornementale peut aussi être envahissante. En Nouvelle Calédonie, elle représente une menace pour l’environnement.

 

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2 mai 2021 7 02 /05 /mai /2021 10:38

Alors que la météo nous annonçait un samedi maussade, le soleil et le ciel bleu sont au rendez-vous le 1ermai.

Deux choix s’offrent à moi : aller au volcan ou faire une balade dans L’ouest. La Fournaise est tentante mais rien qu’à l’idée que des milliers de Réunionnais auraient cette même pensée me dissuade d’y monter. Il vaut mieux réserver cette expédition à un jour de la semaine et éviter le week-end.

Nous prenons la route direction Saint Leu. A la Pointe au Sel où nous garons la voiture  il y a déjà foule : des plongeurs, des familles… L’endroit est propice à la plongée mais aussi à la baignade.

Nous nous arrêtons au bord des salines. Mais l’endroit est déserté à cause du covid, le musée est fermé. Quel dommage !

Nous nous promenons quelques instants sur le basalte noir pour regarder les poissons dans  les petits bassins naturels où l’eau est restée une fois la mer retirée.

Puis nous entamons notre petite randonnée jusqu’à Saint Leu en passant dans les criques. Il fait bien chaud, l’endroit est sauvage. Parfois nous nous déchaussons pour marcher dans le sable issu de la décomposition des coraux ou dans l’eau, et nous reposons à l’ombre d’un grand filao, regardons les nombreux pêcheurs à l’œuvre.

Une centaine de mètres devra se faire sur la route, - le long de la route un stand de fleurs déjà vide de muguets s’est installé - puis nous nous prenons place sous un kiosque, à l’ombre de palmiers.

Véro va nous acheter des sandwichs et deux dodos à un camion bar. Un jeune homme nous prête son décapsuleur. Ici pas de pique-nique. Pas de caris, pas de feux de bois… Les gens sont frustrés par cette interdiction mais respectent la consigne. Les familles se déplacent en  nombre et évitent malgré tout de s’installer à la même table…

Nous pourrions prendre à l’arrêt de la gendarmerie les bus des lignes S3 S4 ou ZO. Comme le ciel se couvre un peu et que le soleil est moins torride nous reprenons le même chemin par la plage, non sans nous arrêter pour nous baigner dans une eau claire.

 

Randonnée : "De la Pointe au Sel à Saint Leu par la plage."
Randonnée : "De la Pointe au Sel à Saint Leu par la plage."
Randonnée : "De la Pointe au Sel à Saint Leu par la plage."
Randonnée : "De la Pointe au Sel à Saint Leu par la plage."
Randonnée : "De la Pointe au Sel à Saint Leu par la plage."
Randonnée : "De la Pointe au Sel à Saint Leu par la plage."
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