Toujours le 21 juin, avec Monique et Pierre, après la baignade à l’Ermitage et le café au Port de Saint Leu, nous avons pris la direction de Saint Pierre par la route du littoral.
En empruntant cette route, j’ai pu constater avec ravissement que la piste cyclable avait été rallongée et que la voie était très confortable pour les cyclistes… mais j’ai aussi vu avec écoeurement que le béton devenait envahissant à la sortie de St Leu et que les travaux défiguraient le littoral : la Nature disparaît au profit de logements impersonnels, et de considérations financières.
Nous nous sommes arrêtés au Souffleur. Et là, le spectacle était grandiose. Ce jour-là, la houle a amplifié le pouvoir de ce « geyser ». Nous sommes restés là une demi-heure à admirer la force et la beauté de l’Océan.
Et les remous du gouffre à L’Etang Salé, comparés à ce que nous avions vu plus tôt, semblaient dérisoires…