Dimanche soir, nous sommes descendus au Port de St Pierre pour assister à la clôture du Dipavali, fête de la Lumière. Pour voir le défilé, il fallait être soit un géant pour dominer toutes les têtes (3 rangs et plus s’étaient amassés de part et d’autre d’une chaussée unique) soit être un enfant pouvant se hisser sur les épaules de ses parents, soit être assez rusé pour se glisser entre les jambes et s’asseoir par terre devant la foule. C’est pour la dernière solution que j’ai opté.
Pendant ce temps François cherchait à garer la voiture, et quand il est arrivé le corso était quasiment passé ! Beaucoup de visiteurs ont déchanté, une organisation qui laisse à désirer… On fait beaucoup de pub mais on n’assure pas…
Mais pour les privilégiés qui ont pu effectivement voir les chars, les danseuses, les musiciens, c’était un régal ! De la lumière, des paillettes, de la soie, des flammes (celles des bâtons de twirling, et du bois qui brûlait dans les brouettes accompagnant les participants, (-feu destiné à assurer retendre les peaux des tambours-) et là-dessus le traditionnel battement de percussions.
Au final un désenchantement pour les uns, et un enchantement pour les autres… Une organisation à revoir !